Un réseau international pour les « digital studies » autour de l’IRI
L’Institut de recherche et d’innovation a créé lors des Entretiens du Nouveau Monde Industriel 2012 le réseau Digital Studies regroupant trente personnalités de diverses régions du monde. Ce réseau étudie la nouvelle épistémè constituée par l’avènement de la technologie numérique.
Le développement des Études numériques, qui fait partie des axes que l’Agence Nationale de la Recherche a inscrits dans son plan d’action 2014 Grands défis sociétaux, publié le 31 juillet 2013, a été évoqué par Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, lors du lancement de France Université Numérique (FUN), le 2 octobre dernier.
Avec l’apparition du numérique, c’est la nature même des savoirs sous toutes leurs formes qui a changé, et avec le world wide web, l’écriture réticulaire est devenue accessible aux publics les plus divers. Ceux-ci ont redéfini les conditions de la parité. De ce fait, l’université, dont les disciplines sont elles-mêmes fondées sur la parité – dont on peut dire qu’elle fonde la communauté des géomètres dès Thalès – , est entrée dans un nouvel âge. C’est cette transformation majeure, massive, et à bien des égards stupéfiante, qui requiert le développement des digital studies – sur la base desquelles peuvent et doivent être conçus les enseignements numériques. Il s’agit de repenser et de refonder les rapports des savoirs à leurs supports.
L’Institut de recherche et d’innovation investigue théoriquement aussi bien que pratiquement les digital studies au niveau international depuis plusieurs années déjà avec plusieurs pays. Au Japon, dans le cadre d’une convention de recherche avec l’université de Tokyo, notamment avec sa bibliothèque portant sur un dispositif de lecture contributive. Avec les universités de Californie (Berkeley, UCLA et CalArts), qui participent au réseau digital studies. Avec la Belgique, avec laquelle un accord de coopération est en cours d’élaboration à travers la Politique Scientifique Fédérale Belge (BELSPO). Et enfin, avec le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la technologie de l’Equateur avec lequel un accord de coopération associant également Ars Industrialis et pharmakon.fr a été signé le 6 novembre à l’occasion de la visite en France du président Rafael Correa Delgado et du ministre de l’enseignement supérieur, science, technologie et innovation René Ramirez Gallegos.
Initiateur du réseau digital studies et directeur de l’Institut de recherche et d’innovation, Bernard Stiegler rend compte de ces enjeux dans l’édition du journal Mediapart du 7 novembre et dans un vidéo-livre accessible à l’adresse http://iri.tw/48. La technologie du vidéo-livre, qui est un support contributif pour un réseau de lecteurs constituant une communauté plurielle d’interprétations, est un exemple des nouveaux dispositifs de débats publics et de controverses scientifiques rendus possibles par le numérique à travers de nouvelles formes d’éditorialisation des travaux de recherche et des enseignements.
L’Institut de recherche et d’innovation a créé lors des Entretiens du Nouveau Monde Industriel2012 le réseau Digital Studies regroupant trente personnalités de diverses régions du monde. Ce réseau étudie la nouvelle épistémè constituée par l’avènement de la technologie numérique.
Le développement des Études numériques, qui fait partie des axes que l’Agence Nationale de la Recherche a inscrits dans son plan d’action 2014 Grands défis sociétaux, publié le 31 juillet 2013, a été évoqué par Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, lors du lancement de France Université Numérique (FUN), le 2 octobre dernier.
Avec l’apparition du numérique, c’est la nature même des savoirs sous toutes leurs formes qui a changé, et avec le world wide web, l’écriture réticulaire est devenue accessible aux publics les plus divers. Ceux-ci ont redéfini les conditions de la parité. De ce fait, l’université, dont les disciplines sont elles-mêmes fondées sur la parité – dont on peut dire qu’elle fonde la communauté des géomètres dès Thalès – , est entrée dans un nouvel âge. C’est cette transformation majeure, massive, et à bien des égards stupéfiante, qui requiert le développement des digital studies – sur la base desquelles peuvent et doivent être conçus les enseignements numériques. Il s’agit de repenser et de refonder les rapports des savoirs à leurs supports.
Un réseau international pour les « digital studies » autour de l’IRI
L’Institut de recherche et d’innovation a créé lors des Entretiens du Nouveau Monde Industriel 2012 le réseau Digital Studies regroupant trente personnalités de diverses régions du monde. Ce réseau étudie la nouvelle épistémè constituée par l’avènement de la technologie numérique.
Le développement des Études numériques, qui fait partie des axes que l’Agence Nationale de la Recherche a inscrits dans son plan d’action 2014 Grands défis sociétaux, publié le 31 juillet 2013, a été évoqué par Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, lors du lancement de France Université Numérique (FUN), le 2 octobre dernier.
Avec l’apparition du numérique, c’est la nature même des savoirs sous toutes leurs formes qui a changé, et avec le world wide web, l’écriture réticulaire est devenue accessible aux publics les plus divers. Ceux-ci ont redéfini les conditions de la parité. De ce fait, l’université, dont les disciplines sont elles-mêmes fondées sur la parité – dont on peut dire qu’elle fonde la communauté des géomètres dès Thalès – , est entrée dans un nouvel âge. C’est cette transformation majeure, massive, et à bien des égards stupéfiante, qui requiert le développement des digital studies – sur la base desquelles peuvent et doivent être conçus les enseignements numériques. Il s’agit de repenser et de refonder les rapports des savoirs à leurs supports.
L’Institut de recherche et d’innovation investigue théoriquement aussi bien que pratiquement les digital studies au niveau international depuis plusieurs années déjà avec plusieurs pays. Au Japon, dans le cadre d’une convention de recherche avec l’université de Tokyo, notamment avec sa bibliothèque portant sur un dispositif de lecture contributive. Avec les universités de Californie (Berkeley, UCLA et CalArts), qui participent au réseau digital studies. Avec la Belgique, avec laquelle un accord de coopération est en cours d’élaboration à travers la Politique Scientifique Fédérale Belge (BELSPO). Et enfin, avec le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la technologie de l’Equateur avec lequel un accord de coopération associant également Ars Industrialis et pharmakon.fr a été signé le 6 novembre à l’occasion de la visite en France du président Rafael Correa Delgado et du ministre de l’enseignement supérieur, science, technologie et innovation René Ramirez Gallegos.
Initiateur du réseau digital studies et directeur de l’Institut de recherche et d’innovation, Bernard Stiegler rend compte de ces enjeux dans l’édition du journal Mediapart du 7 novembre et dans un vidéo-livre accessible à l’adresse http://iri.tw/48. La technologie du vidéo-livre, qui est un support contributif pour un réseau de lecteurs constituant une communauté plurielle d’interprétations, est un exemple des nouveaux dispositifs de débats publics et de controverses scientifiques rendus possibles par le numérique à travers de nouvelles formes d’éditorialisation des travaux de recherche et des enseignements.
L’Institut de recherche et d’innovation a créé lors des Entretiens du Nouveau Monde Industriel2012 le réseau Digital Studies regroupant trente personnalités de diverses régions du monde. Ce réseau étudie la nouvelle épistémè constituée par l’avènement de la technologie numérique.
Le développement des Études numériques, qui fait partie des axes que l’Agence Nationale de la Recherche a inscrits dans son plan d’action 2014 Grands défis sociétaux, publié le 31 juillet 2013, a été évoqué par Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, lors du lancement de France Université Numérique (FUN), le 2 octobre dernier.
Avec l’apparition du numérique, c’est la nature même des savoirs sous toutes leurs formes qui a changé, et avec le world wide web, l’écriture réticulaire est devenue accessible aux publics les plus divers. Ceux-ci ont redéfini les conditions de la parité. De ce fait, l’université, dont les disciplines sont elles-mêmes fondées sur la parité – dont on peut dire qu’elle fonde la communauté des géomètres dès Thalès – , est entrée dans un nouvel âge. C’est cette transformation majeure, massive, et à bien des égards stupéfiante, qui requiert le développement des digital studies – sur la base desquelles peuvent et doivent être conçus les enseignements numériques. Il s’agit de repenser et de refonder les rapports des savoirs à leurs supports.
Un réseau international pour les « digital studies » autour de l’IRI
L’Institut de recherche et d’innovation a créé lors des Entretiens du Nouveau Monde Industriel 2012 le réseau Digital Studies regroupant trente personnalités de diverses régions du monde. Ce réseau étudie la nouvelle épistémè constituée par l’avènement de la technologie numérique.
Le développement des Études numériques, qui fait partie des axes que l’Agence Nationale de la Recherche a inscrits dans son plan d’action 2014 Grands défis sociétaux, publié le 31 juillet 2013, a été évoqué par Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, lors du lancement de France Université Numérique (FUN), le 2 octobre dernier.
Avec l’apparition du numérique, c’est la nature même des savoirs sous toutes leurs formes qui a changé, et avec le world wide web, l’écriture réticulaire est devenue accessible aux publics les plus divers. Ceux-ci ont redéfini les conditions de la parité. De ce fait, l’université, dont les disciplines sont elles-mêmes fondées sur la parité – dont on peut dire qu’elle fonde la communauté des géomètres dès Thalès – , est entrée dans un nouvel âge. C’est cette transformation majeure, massive, et à bien des égards stupéfiante, qui requiert le développement des digital studies – sur la base desquelles peuvent et doivent être conçus les enseignements numériques. Il s’agit de repenser et de refonder les rapports des savoirs à leurs supports.
L’Institut de recherche et d’innovation investigue théoriquement aussi bien que pratiquement les digital studies au niveau international depuis plusieurs années déjà avec plusieurs pays. Au Japon, dans le cadre d’une convention de recherche avec l’université de Tokyo, notamment avec sa bibliothèque portant sur un dispositif de lecture contributive. Avec les universités de Californie (Berkeley, UCLA et CalArts), qui participent au réseau digital studies. Avec la Belgique, avec laquelle un accord de coopération est en cours d’élaboration à travers la Politique Scientifique Fédérale Belge (BELSPO). Et enfin, avec le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la technologie de l’Equateur avec lequel un accord de coopération associant également Ars Industrialis et pharmakon.fr a été signé le 6 novembre à l’occasion de la visite en France du président Rafael Correa Delgado et du ministre de l’enseignement supérieur, science, technologie et innovation René Ramirez Gallegos.
Initiateur du réseau digital studies et directeur de l’Institut de recherche et d’innovation, Bernard Stiegler rend compte de ces enjeux dans l’édition du journal Mediapart du 7 novembre et dans un vidéo-livre accessible à l’adresse http://iri.tw/48. La technologie du vidéo-livre, qui est un support contributif pour un réseau de lecteurs constituant une communauté plurielle d’interprétations, est un exemple des nouveaux dispositifs de débats publics et de controverses scientifiques rendus possibles par le numérique à travers de nouvelles formes d’éditorialisation des travaux de recherche et des enseignements.
L’Institut de recherche et d’innovation a créé lors des Entretiens du Nouveau Monde Industriel2012 le réseau Digital Studies regroupant trente personnalités de diverses régions du monde. Ce réseau étudie la nouvelle épistémè constituée par l’avènement de la technologie numérique.
Le développement des Études numériques, qui fait partie des axes que l’Agence Nationale de la Recherche a inscrits dans son plan d’action 2014 Grands défis sociétaux, publié le 31 juillet 2013, a été évoqué par Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, lors du lancement de France Université Numérique (FUN), le 2 octobre dernier.
Avec l’apparition du numérique, c’est la nature même des savoirs sous toutes leurs formes qui a changé, et avec le world wide web, l’écriture réticulaire est devenue accessible aux publics les plus divers. Ceux-ci ont redéfini les conditions de la parité. De ce fait, l’université, dont les disciplines sont elles-mêmes fondées sur la parité – dont on peut dire qu’elle fonde la communauté des géomètres dès Thalès – , est entrée dans un nouvel âge. C’est cette transformation majeure, massive, et à bien des égards stupéfiante, qui requiert le développement des digital studies – sur la base desquelles peuvent et doivent être conçus les enseignements numériques. Il s’agit de repenser et de refonder les rapports des savoirs à leurs supports.