Le séminaire catégorisation contributive pose le problème de l’organisation de la transindividuation. Comment allons-nous concevoir ce qui permet de passer de la prise de note et de l’annotation individuelle, autrement dit ce que Gilbert Simondon nomme l’individuation psychique, à la transindividuation ? Comment mettre en oeuvre cette question à l’époque de la rétention tertiaire numérique ?